Le Sacrement de l'Eucharistie !
Chez les chrétiens, et plus précisément chez les catholiques, l’Eucharistie est la célébration du sacrifice du corps et du sang de Jésus Christ présent sous l’aspect du pain et du vin.
Historiquement
Elle ouvre le cycle de
Durant
Les mets sacrés, le pain et le vin pris pour le corps et le sang du Christ, dont la consommation est censée être le gage de l'Alliance Nouvelle conclue entre Dieu et les hommes (" Prenez, mangez ceci est mon corps (...) ; Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés.…").
Ils font ainsi de cette phrase un critère dans la formulation de leur doctrine pourtant ni les mets, ni leur consommation ne constituent la transformation rituelle. De tels rites sont des pratiques courantes et depuis longtemps dans les religions à mystères. Asiatiques ou égyptiennes à l'origine.
Dans l'Église catholique,
La chrétienté en général s’est grandement détournée de telle manière dont certains sont dans la plus grande confusion à cet égard. Les uns avec la messe, d’autres avec les sacrements qui ont dénaturé le vrai caractère de l’Église.
Dans la théologie catholique, après que le prêtre a dit au nom du Christ : « Ceci est mon corps livré pour vous » !
L’Église catholique croit que le pain et le vin de la sainte Eucharistie deviennent réellement le corps et le sang de Jésus, Le pain sans levain que le prêtre offre et consacre à la messe, et dans lequel Jésus s'offre comme victime, face à ce mystère, les personnes présentes dans l’assemblée s’inclinent dans un profond respect, se mettent à genoux et chantent « Nous annonçons ta mort, Seigneur, nous proclamons ta résurrection. Viens, Seigneur Jésus ».
Ainsi pendant la messe, le pain et le vin deviennent le Corps et le Sang du Christ lorsqu’ils sont consacrés. Les chrétiens mangent ce Corps du Christ.
N’est ce pas là un acte de cannibalisme ?
La question n’est pas d’aujourd’hui. L’Évangile reconnaît que l’annonce de l’Eucharistie est provocante et déroutante : «Cette parole est rude ! Qui peut l’entendre ? » (Jean 6, 60)